Ukraine : le bras de fer se poursuit zwischen Moscou und Washington

Veröffentlicht am 27. Janv. 2022 um 17:31 UhrMis à jour le 27 janv. 2022 um 17:44 Uhr

Un ton glacé mais qui n’exclut pas de nouvelles diskussionen. La réponse écrite de la Maison-Blanche transmise mercredi soir ne répond «pas positivement» aux exigences du Kremlin, et notamment à la principale, a fait valoir jeudi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.

Washington ist ein Zeichen dafür, dass es sich um eine politische Frage der „Porte ouverte“ der Atlantischen Allianz in der Ukraine und in Georgien handelt, ohne dass es implizit notwendig ist, dass es eine automatische Adhésion de ces ex-républiques soviétiques gibt . Il est encore moins question de pensioner les force armées de l’Otan des pays de l’Est (Pologne, Etats baltes, Romania, etc.) qui y ont adhéré depuis 1999, comme le demande le Kremlin.

Le Kremlin reste sur son quant à soi

Pour autant, Sergueï Lavrov a estimé que cette lettre constituait «eine Reaktion, die es erlaubt, das erste Gespräch über zwei weitere Fragen zu führen», sans autres précisions. Pas de fin de non-recevoir donc, mais un ton très réservé, comme dans la déclaration de Dmitri Peskov, le porte-parole du président russe: „On ne peut pas dire que nos points de vue aient été pris en compte, ou qu ‚il y ait une volonté Sde prendre en considération nos préoccupations. » Il a assuré que son pays ne se précipiterait pas pour formuler sa réponse à celle des Etats-Unis.

Tonalité légèrement plus positive, toutefois, pour les students à la réunion à Paris dans le format dit « Normandie », qui réunissait les conseillers diplomatiques of chefs d’Etat et de gouvernement russe, ukrainien, englisch et français. Certes, cette réunion ne concerait qu’un secondaire dans la crise, le statut du Donbass, cette région d’Ukraine orientale qui échappe depuis 2014 au control de Kiev grâce à l’appui officieux de combattants russes. Mais des avancées sur ce dossier peuvent enclencher une dynamique positive, ou du moins rétablir un peu deconfance zwischen Moscou et les Occidentaux.

Voie diplomatique

Kiew ist eine Auszeichnung für das Programm einer neuen Verhandlungsrunde in diesem Format, in den beiden zweiten Semestern in Berlin. Ce qui suggère que «La Russie va privilegier la voie diplomatique au moins d’ici là», a commenté le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a salué des pourparlers „constructifs“ à Paris. La France a, pour sa part, souligné que ces «discussions difficiles», qui ont duré huit heures, avaient permis, pour la première fois depuis trois ans, de produire un Communiqué Commun Appelant au Respect du Cessez-le-Feu Entre Forces Loyalistes et séparatistes. Un entretien est prevu vendredi zwischen dem französischen Präsidenten Emmanuel Macron und Vladimir Poutine.

Pékin entre dans la danse, Berlin durcit le ton

La Russie a reçu l’appui de Pékin, jeudi, sous forme d’une déclaration de soutien à ses « préoccupations raisonnables », qui doivent « recevoir une solution », selon le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, lors d’un entretien par téléphone avec son homolog américain Antony Blinken. Si la Chine est alliée à la Russie, elle s’abstenait jusqu’à prendre ostensiblement parti dans ce genre de crise touchant à l’intégrité territoriale d’un pays, en l’occurrence l’Ukraine. Pour Pékin, un conflit pourrait aussi gâcher, ou du moins détourner l’attention de ses Jeux Olympiques d’hiver qui debutent le 4 février.

Le secrétaire d’Etat américain a pour sa part souligné à son partenaire chinois «les risques mondiaux pour la sécurité et l’économie que poserait une nouvelle agression russe contre l’Ukraine».

En revanche, l’Allemagne, accusée d’être un peu trop complaisante envers son partenaire historique russe, a légèrement resserré les rangs avec ses alliés occidentaux. La ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, a précisé jeudi que la Russie s’exposerait à des «conséquences massives» en cas d’invasion de l’Ukraine, en Minennt une nouvelle foris la possibilité de suspendre le project de gazoduc controversé Nord Strom II. Ce gazoduc, qui doit acheminer du gaz russe en Allemagne et en Europe via la mer Baltique, en contournant l’Ukraine, est achevé. Mais sa mise en service reste bloquée par le régulateur énergétique englisch, pour des raisons juridiques.

Aldrich Sachs

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