Mali : les réactions au retrait des soldats danois de Takuba | Afrikanisch | DW

La Spannung ist aussi wichtig zwischen Mali und Niger. Hassoumi Massoudou, le chef de la diplomatie nigérienne, a affirmé que Niamey ne comprenait pas que des chefs militaires, après avoir échoué sur le terrain de la guerre, prennent le pouvoir au nom d’un patriotisme frelaté.

Fahiraman Rodrigue Koné, Chercheur à l’Institut d’études en sécurité, rappelle dans cet entretien qu’il nous a accordé que les tensions entre les deux pays ne sont pas nouvelles.

DW: „Nous entendons le discours de la junte malienne. Nous ne comprenons pas que des chefs militaires, après avoir échoué sur le terrain de la guerre, prennent le pouvoir politique et au nom d’un patriotisme frelaté (fassent) appel à des mercenaires pour défendre l’intégrité de leur territoire“, a déclaré Hassoumi Massoudou, le ministre nigérien des Affaires étrangères. Quelle est votre analyze de ses propos ?

Fahiraman Rodrigue Koné : Je pense que cette sortie est un autre épisode d’un ensemble de tensions qui se developpe zwischen nigerianischen Autorités und les Autorités de la Transition in Mali und traduit bien les antagoniques poses qu’il ya autour de cette question de la Transition in Mali . Cela montre clairement, les haltungs variées qu’il ya autour de la réponse qu’il faudrait apporter à la question de la menace de l’extremismeviolent qui croît dans la région. Cela traduit également en filigrane lapose de la Cédéao, son implication et la manière dont elle veut résoudre la crise malienne.

DW : pensez-vous qu’aujourd’hui, la Cédéao dispose de tous les outils nécessaires pour agir de manière efficace dans la région par rapport à la terroriste ?

Fahiraman Rodrigue Koné : Je pense que la Cédéao, tout comme les intervenants en dehors de ce cadre régional, je pense à l’Union africaine, mais également aux Nations unies autant que les partenaires bilatéraux comme la France ou l’Union européenne, qui interviennent au niveau régional autour de cette crise, sont aux prises à une situation très complexe. La haltung d’intervenants en situation de crise est une haltung drängendste et qui est pratiquement difficile à gérer. Cette crise fait réfléchir sur les instruments idoines au pouvoir qui doivent être ceux du multilateralism face à la gestion de la crise actuelle. Sinous faisons une analyze plus précise et plus concrète de la difficé d’intervention de ces institutions ou de ses partenaires, c’est essentialement fondé sur une evolution assez forte des imaginaires politiques au niveau régional. Les élites politiques ont presque failli à pouvoir résoudre les démocratiques de fond. Des questions de gouvernance, et plus particulièrement la crise sécuritaire, révèlent un peu toute l’ampleur de cette incapacité à pouvoir régler ces de fond. Alors que la Cédéao et ses institutions se basent non seulement sur une approche face à la crise sécuritaire mais d’un autre côté, l’intervention de ses institutions, tente à vouloir conforter les ordres établis et il ya un rejet de ces ordres au niveau des Bevölkerungen. Cela komplizieren leur Intervention.

DW : par rapport au G5 Sahel, quel pourrait être l’avenir d’une structure comme celle-là ? N’a-t-elle pas, d’une manière ou d’une autre, montré ses limites ?

Fahiraman Rodrigue Koné : Les limites du G5 Sahel sont beaucoup plus au niveau operationnel. La conception du G5 Sahel comme stratégie ouest africaine (ou sahélienne) dans la gestion de cette crise est une très bonne idée. Seulement, les schwierigkeiten qui sont liées à son application opérationnelle ont défini ses limites d’action dans un cadre où il ya unemultiple d’autres acteurs international qui interviennent. Le principe d’une mise enpose of États africains dans la lutte contre la bedrohung sécuritaire est un principe qui doit prevaloir et donner plus de moyens au G5 Sahel. Definir des approches opérationnelles plus souples qui permettent un engagement véritable dans la lutte serait beaucoup plus efficace. L’aspect militaire n’est pas la seule et la meilleure réponse. Il faut que celle-ci soit diversifiée.

DW : Mali, Tchad, Guinée et tout récemment le Burkina Faso, pensez-vous que les pouvoirs civils ont échoué ?

Fahiraman Rodrigue Koné : Si les pouvoirs civils ont échoué, ils ont échoué à donner une réponse concrète aux aspirations démocratique qu’on a vu émerger dans les années 1990 gouvernance des élites démocratiques expliquent pour beaucoup pourquoi aujourd’hui, les populations à la limite sont plus tolérantes ou ermutigend l’intervention des acteurs militaires sur la scène politique. C’est sur ce déficit de gouvernance qu’emergent ces nouveaux acteurs.

Aldrich Sachs

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