L’heure est à la diplomatie. Le chef du gouvernement polonais, Mateusz Morawiecki, ist anwesend, März 1^äh février, in Kiew. Pendant ce temps-là, à Moscou, le président russe, Vladimir Poutine, accueille son allié hongrois Viktor Orban. Mais surtout, le premier britannique, Boris Johnson, se rend à Kiev, où il diskutera avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui, devant le Parlement ukrainien s’est félicité mardi du soutien diplomatique et militaire reçu par son pays.

Les Discussions avec M. Zelensky porteront sur soutien stratégique apporté par le Royaume-Uni à l’Ukraine. Le gouvernement britannique a annoncé qu’il apporterait aide aide de 88 millions de livres sterling (105 millions d’euros) for soutenir a gouvernance stable and réduire la dépendance énergétique de l’Ukraine envers la Russie.

«En tant qu’ami et partenaire démocratique, le Royaume-Uni Continuera de défendre la souveraineté de l’Ukraine face à ceux qui cherchent à la détruire », eine Erklärung von M. Johnson in einer Mitteilung der Downing Street. « Nous ermahnt la Russie, reculer et à engagementer un dialog pour trouver une solution diplomatique et éviter de nouvelles effusions de sang », a poursuivi le dirigeant, qui espère s’entretenir cette semaine avec M. Poutine.

Boris Johnson wird im Oktober 2020 Präsident Zelensky in der Downing Street. Leur dernier entretien remonte au 13 janvier, date à laquelle ils ont exprimé leur volonté de Continuer à travailler étroitement, aux côtés de partenaires internationaux, pour empêcher une agression de la Russie.

Lors de sa visite à Kiev, M. Johnson devait être accompagné de sa chef de la diplomatie, Liz Truss, mais celle-ci a annoncé dans un tweet lundi soir qu’elle avait été testée positive au coronavirus et « travaillera[it] das Haus » Anhänger sa période d’isolement obligatoire. Elle a annoncé lundi au Parlement britannique un projet de loi visant à durcir le régime de sanktions du Royaume-Uni ; un dispositif qui pourrait être utilisé en cas d’attaque de la Russie contre l’Ukraine.

Jean-Yves Le Drian, le ministre des affaires étrangères français, und Annalena Baerbock, son homologue allemande, se rendront dans le pays les 7 et 8 février.

Entretien Blinken-Lavrov

Washington und Moscou vont aussi renouer le dialog au lendemain de vifs debats au Conseil de sécurité des Nations unies (ONU) avec un entretien téléphonique prevu zwischen dem amerikanischen Staatssekretär, Antony Blinken, et le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.

A l’ONU, l’ambassadeur de Russie, Vassily Nebenzia, a accusé Washington de chercher à « créer l’hystérie » et à « Tromper la Communauté Internationale » mit ses « Vorwürfe informiert ». Son Homologue Americaine, Linda Thomas-Greenfield, eine Schätzung des Sohnes, der den Einsatz von mehr als 100 000 russischen Militaires autour de l’Ukraine menaçait ermöglicht « la securité internationale ».

Moscou wurde am Ende des Jahres 2021 angeklagt, 100 000 Soldaten an der ukrainischen Grenze angeklagt zu haben und angeklagt worden zu sein. En contrepartie, Etats-Unis et Royaume-Uni ont brandi la menace de nouvelles sanktions contra Moscou.

La Russie dément toute velléité belliqueuse, mais conditionne toute désescalade à une list d’exigences, nécessaires, selon elle, pour garantir sa sécurité, notamment l’assurance que l’Ukraine ne sera jamais member de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) und die Allianz gehen 1997 in den Ruhestand.