Arabelle, General Electric und l’Etat: la fin d’un feuilleton nucléaire

Publié le 10 fevr. 2022 um 13:11 UhrMis à jour le 10 fevr. 2022 um 13:14 Uhr

Cocoric! September 2018 wurde die kontroverse Kontroverse der Aktivitäten von Alstom an Amerika in General Electric, eine Partei dieser Aktivitäten – nicht die berühmte Turbine Arabelle, als „Joyau“-Technologique Français betrachtet – Revennent officiellement, ce jeudi, sous le drapeau tricolore .

« Avec le rachat des turbines à vapeur par EDF , on devient l’un des seuls pays au monde qui maîtrise l’intégralité du cycle nucléaire. C’est un gage essential de notre indépendance énergétique », se felicite le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Mais outre ses enjeux industriels, cette opération très symbolique marque pour Emmanuel Macron sa volonté de tourner la page de «l’affaire Alstom», un psychodrame politique qui l’a empoisonné avant meme le début de son quinquennat.

Une vente à la découpe d’un fleuron national

En tant que conseiller de François Hollande, l’actuel chef de l’Etat a joué un rôle clé dans cette opération. Im November 2014, als ehemaliger Wirtschaftsminister, ist er berechtigt, die Energietätigkeit von Alstom bei General Electric zu entfachen. Et depuis, il se voit régulièrement reproché d’avoir engendré la vente à la découpe d’un fleuron industriel national.

A l’époque, Alstom ist schwierig und beabsichtigt, sich auf seine Aktivität zu konzentrieren. Sohn Patron, Patrick Kron, ist eine Tournee mit aller Diskretion gegen General Electric, um seine Energieaktivitäten zu löschen. Tenant de contrer l’opération, Arnaud Montebourg – le ministre de François Hollande qui milite pour réindustrialiser la France -, pour une offre alternative avec l’allemand Siemens et le japonais Mitsubishi. Il brandit meme la menace d’une nationalization partielle d’Alstom, mais ne convainc personne.

« Le gouvernement a été mis devant le fait accompli . Les entreprises discutaient depuis plusieurs mois dans le plus grand secret. […] Le gouvernement s’est trouvé face à un projet totalement ficelé », dira après coup Emmanuel Macron, interrogé par la Commission d’enquête du Parlement chargée de faire la lumière sur les zone d’ombre de cette affaire, en particulier l’hypothèse d ‚une ingérence of la Justice Americaine – qui enquêtait depuis 2010 sur les pratiques de corruption d’Alstom et l’aurait fait tomber dans les bras de General Electric…

Retour en grâce du nucléaire

C’est la bedrohung du désengagement de l’américain qui beabsichtigt se restructurer en profondeur qui, il ya deux ans, contraint le gouvernement français à se pencher à nouveau sur le sort d’Arabelle. Surtout que le gouvernement prepare un virage à 180 degrés de sa politique energétique, avec une relance sans précédent du nucléaire.

« Il ya quelques années, on parlait de fermer des réacteurs. Mais on s’est aperçu qu’on ne pouvait pas atteindre notre objectif de décarbonation sans construire de nouvelles centrales nucléaires. Oder, lancer un program nucléaire, avec un fournisseur, en l’occurrence General Electric qui se tourne vers d’autres activités et bedrohen de se désengager du nucléaire, n’était pas un risque Acceptable », erklärt Bruno Le Maire.

Une cession qui fait debat

En novembre dernier, l’engagement d’Emmanuel Macron de relancer la construction de nouveaux réacteurs nucléaire lève les derniers freins chez EDF pour reprendre ces actifs. Für Boucler Cette Acquisition dans les temps and en faire un orgue du gouvernement en pleine présidentielle campagne, Bruno Le Maire revoit Larry Culp, le PDG de General Electric, in New York im Dezember. « La negociation a été intensive mais elle permet de faire aboutir le seul projet realisierbar, c’est-à-dire une integration autour d’EDF, chef de file de la filière », plaide le ministre.

Ce n’est toutefois pas l’avis du deputé LR d’Eure et Loir, Olivier Marleix qui a présidé la Commission d’enquête parlementaire sur «l’affaire Alstom». « General Electric ein racheté Geast für 588 Millionen Euro. EDF rachète aujourd’hui ces activités pour environ 1 Milliarde Euro. On aurait pu trouver une autre solution », estime-t-il, en faisait référence au projet porté par l’ex-cadre d’Alstom Frédéric Pierucci. Autre incertitude pour le député, l’avenir du carnet de commandes des turbines Arabelle, en Attendant de voir se matérialiser les commandes des nouveaux EPR français.

Aldrich Sachs

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